Le vent m’a
murmuré à l’oreille
Un doux aveu
dans le ressac,
Virevoltant au
gré des vagues
J’ai cru
entendre les mots
Était-ce mon
esprit torturé ou
Mon âme qui
les susurrait
D’une
caresse légère et
Insistante, du
bout des doigts absents ?
Mon regard
se porte ici et ailleurs
Au-delà de l’immensité
bleutée,
Miroitement incessant
mélodieux
Lancinant, il
s’insinue en mon cœur
Qui es-tu
âme vagabonde, je te ressemble
Et je te
connais ?
Un nom au
bout de ma langue
Me donne le ton et l’émoi conjugués
Me donne le ton et l’émoi conjugués
J’étais si
fatiguée de t’attendre,
Le désespoir
frappe à ma porte parfois
Ce que j’espère
tu n’en veux pas
Et je ne
sais si je dois me rendre
Dis-moi ce
que tu vis et pourquoi
Tu te
dérobes ?
Ne m’aimes-tu
qu’ainsi, au fil de ma peau
Qui se
couche sur la tienne ?
Quels
secrets t’ont marqué que tu ne me taises
Et pourquoi
mon amour ne peut les apaiser ?
J’aimerais
que tu te laisses porter dans
Le remous de
tes émotions,
Les écouter
sans raison juste pour les vivre
Un transport
amoureux bienfaisant
Où nulle
peur ne s’accroche,
dans l’abandon
heureux de tes habitudes
Viens me
rejoindre où que je sois
En pensées
ou nu, je t’adore
Pour faire
devenir réalité les mots d’amour
Aux portes
de tes lèvres, dis-les moi encore…
Marisa F
(13/05/2019)
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