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mardi 26 février 2019

Je t'aime



Accueille cet amour que je t’offre de bon cœur
Qu’il te donne des ailes et te réchauffe dans les moments de solitude
Te fasse sentir fort dans les moments d’incertitude et de doute
Qu’il te porte au-delà de toi-même,
Dans les profondeurs de ton âme et de ton amour

Qu’il soit initiateur de sentiments éperdus et vrais
D’émotions transportées dans tes élans de douceur
Je te le donne sans contrepartie, dans un souffle léger et protecteur
Chargé de bienveillance sans attendre de retour,
Que celui de te savoir bienheureux avec ou sans moi

Ne crains pas de m’aimer à ta manière,
Je saurai recevoir cet amour qui te ressemble
Il n’y aura aucune comparaison, ni aucun doute
Simplement le bien-être et la sécurité qu’il me procurera
Pour m’unir à toi avec ardeur et sans pudeur

Et si un jour nous devions nous perdre de vue
Sache qu’une parcelle restera gravée au plus profond
Pour, dans mes souvenirs, ressentir encore les tumultes
Que tu avais provoqués et la flamme qu’il avait allumé
Ma bouche s'éclairera d’un sourire nostalgique
De te savoir de ton côté peut-être très heureux

Car aimer est un don du ciel offert pour rapprocher les « être »s !

Marisa F (26/02/2019)
Tous droits réservés




lundi 25 février 2019

Dans tes yeux




C'est lorsque mes yeux plongent dans les tiens
que mon âme te fait l'amour en silence...

Marisa F (25/02/2019)
Tous droits réservcés

lundi 11 février 2019

Desamour...




J’apprends à te désaimer
A faire le deuil des heures dans tes bras
A ne plus te dédier chaque seconde de mes pensées
A vivre le reste de ma vie sans toi

Lorsque le temps abîme les sentiments
Que même l’amour est impuissant à créer et retenir
Il ne reste rien qui vaille le détour
ni le chemin déjà parcouru ni les souvenirs sourds

J’ai arpenté le chemin du désir ardant
L’ai embrassé comme on serre un enfant
Ressenti les mots et les caresses qui m’ont troublé
Sans jamais ouvrir ta porte mon aimé

Je t’ai offert le meilleur de moi-même
Nul autre n’avait eu ce bonheur
L’as-tu apprécié à sa juste valeur ?
Tu n’as pas vu que je te donnais les rênes

Désamour, ivresse nostalgique qui s’écoule
Tristesse infinie qui monte aux yeux et au cœur
Par ton désintérêt et ton inertie tout s’écroule
Mon amour, mon désir et l’envie de ta chaleur

Lorsqu’on perd son sourire et que la souffrance
Fait place à la joie des premières heures
Il n’est nul amour aussi grand soit-il
Qui doive détruire ce que nous sommes à l’intérieur.

Inutile de m’acharner à retenir ce bonheur volé
Il ne reste qu’à lâcher prise et te laisser voguer
Sur la mer désormais tourmentée où je dérive
mon amour pour toi s’étouffe et agonise.

Le feu de la passion c’était ce qui m’animait
J’en ai aimé chaque seconde en instants vrais
Mais je sais maintenant que l’esprit peut créer,
Et Idéaliser les êtres, tels qu’on les voudrait.

Marisa F (11/02/2019)

Tous droits réservés