Photo prise sur le net |
Murmure-moi à l’oreille,
Les mots qui abreuventComme la pluie bienfaisante
A la terre asséchée,
La becquée de la mère
A l’oisillon affamé.
Paroles intenses qui s’envolent
Nourrissant l’âme et le cœurLégères comme un nuage
Dont la teinte virginale
Enchante les cieux.
Me les diras-tu toujours,
Après tant d’années ?
Lorsque nos corps vermeil
Fatigués parfois s’éveillent
Ressassant les souvenirs
De l’amour consommé
Que tu me prodiguais à satiété
Ces mots légers et forts comme je t’aime
que Tu me glisses sans fin à l’oreille Ces mots doux comme des caresses
Si merveilleux de délicatesse.
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