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dimanche 21 octobre 2018

Tourments...


Réveillée tôt, tu me manques
L'aube ne se lèvera pas sur nos corps alanguis
Le vent caresse et se déchaîne au dehors
chahutant les arbres qui dansent de joie

Une brise légère souffle sur mon coeur
Elle attise ce vide qui se veut comblé
Un murmure pesant bât à mes oreilles
et je ne rêve que de ta voix, pour l'apaiser

Goûter à tes lèvres, aux étreintes de tes bras
A cette peau que je sens douce sous mes doigts
Sentir ta bouche glisser sur mes dunes
sensations divines qui ne peuvent s'apaiser, pourquoi ?

Ton absence m'est dure et douce à la fois
Elle attise le feu mais provoque la tristesse
cette invitée des minutes qui s'égrainent
vibrante mais ô combien désarmante parfois

Je résisterai tant que je le pourrai
et c'est parfois bien dur, tu le sais
d'attendre tes écrits, d'écouter ta voix
lorsque tu daignes chaque jour ne les réserver qu'à moi !

Je ne sais ce qui te freine, ni où sont tes choix
Si une autre a ton coeur, bienheureuse soit-elle !
J'arrive peut-être trop tôt ou trop tard pour quoi ?
Une miette de ton amour me remplirait, si tu l'oses...

Aube nouvelle, jour nouveau que tu désertes
et je vis avec ce désir de te revoir
Toi qui hante mes pensées secrètes
qui émiettent ma solitude mon amour...

A très vite où que tu sois...

Marisa FOURE (21/10/2018)
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