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Renaissance

Comme une onde mutine,
tes yeux se sont posés sur moi.
Les volutes de ton souffle
ont effleuré mon cœur meurtri.
L'intensité de ton regard
plane sur mon âme alanguie.
Tout mon être murmure,
les battements de mon désespoir,
Emoi mélancolique d'un chagrin exalté,
du souvenir cuisant
d'une rupture annoncée.
Me feras-tu oublier
jusqu'au moindre souvenir
de cet idylle passée
d'un simple éclat de rire ?
  
Marisa FOURÉ (30/03/2013)
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