Jean-Baptiste Camille Corot, La Mélancolie, vers 1860 |
Douce
mélancolie
Qui parlait
à mon cœur
Pourquoi
as-tu failli
à mes émois,
sans heurts ?
J’aimais
t’accompagner
Dans tes
délires charnels
Admirant tes
couplets
Sur l’amour
éternel
Il suffisait
de l’extase
D’un ciel
d’Azur lumineux
Pour que, tout
mon être
S’enivre et
soit joyeux
Où donc
es-tu partie ?
Vers quels
autres horizons
Pour que
dans ton ennui
Tu quittes
ma déraison !
Ah !
Qu’il est difficile
De vivre
sans toi maintenant
Avec ce vide
ultime
Loin de tes
sentiments
Je garde
cependant l’espoir
D’une visite
surprise
Me comblant
de mille joies
Le temps
d’une missive !?
J’ouvrirais
grande mon âme
Que tu
titillerais cent fois
Entrebâillant
mes fenêtres
Aux murmures
de ta voix
Marisa F (28/02/2014)
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