Photo prise sur le net
Convoitise
Ah ! vous
dirais-je Monsieur,
Le doux
drame qui m’émeut.
La seule
pensée de vos lèvres douces
Unies aux
miennes m’émousse.
Et un flot
déferle en moi,
Au seul son
de votre voix.
Tout mon
corps vibre sous l’effet
De ce séisme
enflammé.
Entendez-vous
les battements
De ce cœur triste
et aimant,
Qui ne
demande que l’aumône
De vos mains
qui me frôlent ?
Dans mes
rêves les plus fous,
Lorsque mon
corps s’anime,
Je me sers contre
vous
pour devenir
mutine.
Ma poitrine
se soulève,
Eteignez cette
fièvre.
Secourez-moi
je vous en conjure,
Et soignez
cette blessure.
Mais ma
supplique reste lettre morte,
Soudain je
me sens bien sotte.
Puisque vous
aimez ailleurs,
Et qu’une
autre à déjà votre cœur.
Marisa FOURÉ (26/04/2013)
Tous droits réservés
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